Souvent, il est difficile de faire la différence entre les habitations des Mahorais et les bidonvilles des clandestins... Des épaves de voitures, içi et là, des enfants livrés à eux-même jouent dans la boue, traine des carton. Les chèvre se nourissent sur les tas de détritus qui s'accumulent !
La photo n'est pas top, mais sous l'arbre, plusieurs enfants sont là sans surveillance, abandonné par leur parents.
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